Michel Adélaïde |
Michel Adélaïde est un homme
passionné. Engagé auprès de nombreuses associations, il a bâti sa carrière
professionnelle autour des hommes. Innover, construire, créer, s’investir avec
détermination, sa dévotion n’a pas de limites, tant sur le plan professionnel
que personnel.
Avec Jacques Canneval, son ami
d’enfance, il décide de créer en 1993 une société spécialisée dans l’édition de
revues, la SARL "SEPT MAG COMMUNICATION".
Jacques Canneval évoque, dans
SEPT Magazine, leur amitié ainsi :
« Michel Adelaïde est mon
ami et quoiqu’il arrive, il le restera. Je l’ai assisté, dans des circonstances
douloureuses et heureuses de la vie.
J’ai pu recueillir les mémoires de son père, enseignant émérite, qui a
accompli un travail considérable pour la Guadeloupe. Nous avons eu, tous les
deux, dès le début des années 1980 la joie d’investir dans notre pays. Nous
avons créé ensemble plus d’une centaine d’emplois sans que jamais, quiconque
pense à nous adresser le moindre remerciement. Nous avions, de retour d’un
voyage à la Martinique, décidé, tout de go, d’implanter une imprimerie pour ne
plus être pris en otage par les
organisations syndicales en grève. Nous avons créé dans l’allégresse, une
foultitude d’événements qui fait honneur à la Guadeloupe. Je peux aussi
affirmer que Michel Adélaïde a fait progresser considérablement la médecine du
travail à la Guadeloupe. Celle-ci se trouvait dans des locaux indignes à
Pointe-à-Pitre, à l’évidence trop exigus. Aujourd’hui, la médecine des salariés dispose de moyens plus
importants, de locaux salubres pour
accomplir sa mission et des moyens d’aller à la rencontre des salariés sur leur
lieu de travail. Je dois aussi l’avouer,
nous avons eu de nombreuses divergences quant à la gestion des affaires que
nous possédions. Certains de nos affrontements résonnent encore dans les locaux des entreprises dont nous avons
partagé les responsabilités. Là où il prônait une rigueur presque militaire, je
recommandais le dialogue. Là où je désirais aller plus loin dans certaines
dépenses d’investissement, il me disait son désaccord avec des mots peu
diplomatiques. C’est justement cette franchise, sur laquelle nous avons fondé
notre amitié, qui m’autorise à parler de Michel Adélaïde sous un angle que très
peu de Guadeloupéens connaissent, […] mais également reconnaître en lui le
bâtisseur, doté d’une énergie puissante, dès qu’il s’agit de mettre la main à
la pâte pour faire avancer son pays.
Chez nous, les hommes d’action sont rares.
Lucette Michaux-Chevry disait : « En Guadeloupe il y a beaucoup de pantalons mais peu d’hommes d’action ».
Et pourtant, ce sont ceux-ci qui, comme Michel Adélaïde, dans un rassemblement
ouvert à toutes les races, toutes les ethnies, toutes les bonnes volontés d’où
qu’elles viennent, dans un esprit ouvert
aux idées novatrices qui contribueront à faire émerger la Guadeloupe, que nous appelons de nos vœux.
Sept Magazine N° 1433 du 25/31 janvier 2007
Michel Adélaïde et Jacques Canneval, une amitié solidement enracinée
C’est lors d’un retour de voyage à
la Martinique, au début des années 1980, que les deux hommes décident donc de
but en blanc, sans la moindre hésitation, d’investir dans leur pays.
Pour ne plus être pris en otage
par les organisations syndicales en grève, ils implantent une imprimerie en
Guadeloupe. Michel Adélaïde et Jacques Canneval organisent alors, avec passion
et dynamisme, une multitude d’événements faisant honneur à leur pays. Ils
développent notamment une toute nouvelle activité, le "SALON DE
L’HABITAT". Leur inflexible amitié les pousse à aller toujours plus haut
et leur permet de créer plus d’une centaine d’emplois.
Michel Adélaïde et Jacques
Canneval sont des hommes d’action comme on en voit peu. Leur esprit ouvert aux
idées novatrices a permis un rassemblement de toutes races et ethnies, où
toutes les bonnes volontés, d’où qu’elles viennent, peuvent se joindre à eux.
Avec une énergie puissante, ils ont contribué à faire émerger leur pays, la
Guadeloupe.